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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 14:00






   La nature est souvent belle et harmonieuse : c'est que la "divine proportion" y est dissimulée.....



















      Proportion entre deux dimensions de grandeurs différentes pour lesquelles :


      " Le rapport de la plus petite à la plus grande est le même que celui de la plus grande au Tout ".





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commentaires

N
J'adore tes solitaires...<br /> Merveilleuse photo, toujours et encore...Répétition...<br /> et mon imagination vagabonde<br /> Sur les couleurs, les courbes ... <br /> <br /> Je rêve de chaleur de mon pays froid ...De sable chaud sur la plage<br /> Mais autour de moi le goudron, le béton ...<br /> Et les rails ...qui me traine où je ne veux pas aller<br /> <br /> <br /> Merci pour tout !<br /> Bises
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L
La divine proportion, le "nombre d'or" est partout...dans la spirale des coquillages et dans les rapports entre les parties du corps humain...<br /> Harmonie céleste qui nous émerveille...<br /> <br /> Tout comme ta photo que je trouve sublime !
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M
magnifique photo...<br /> la nature est pleine de choses étonnantes
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G
Merci Njel de m'avoir fait découvrir ce très beau poème.<br /> Merci Emmanuel pour l'info ; j'ai découvert le blog de Richard Shilling par l'intermédiaire de ton site. Son Land-art est magnifique ! Je l'ai rajouté dans mes liens.
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N
Encore une très belle photo; elle évoque pour moi une ondine à la longue chevelure, et me rappelle un poème de Claude Roy que j'aime beaucoup, " La rivière endormie":<br /> <br /> " Dans son sommeil glissant l'eau se suscite un songe <br /> Un chuchotis de joncs de roseaux d'herbes lentes <br /> Et ne sait jamais bien dans son dormant mélange<br /> Où le bougeant de l'eau cède au calme des plantes<br /> <br /> La rivière engourdie par l'odeur de la menthe<br /> Dans les draps de son lit se retourne et se coule<br /> Mêlant ses mortes eaux à sa chanson coulante<br /> Elle est celle qu'elle est surprise d'être une autre<br /> <br /> L'eau qui dort se réveille absente de son flot<br /> Écarte de ses bras les lianes qui la lient<br /> Déjouant la verdure et l'incessant complot<br /> Qu'ourdissent dans son flux les algues alanguies "<br /> <br /> .
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